23 x 16.5 cm
64 pages in black & white
Hardcover
ISBN: 9782848410869
Published in May 2025, in stock
14 €
Le bus 3
by Paul Kirchner
« (…) Jeux d’ombres et d’échelle, mises en abyme, astuces de perspective servent une démarche surréaliste où l’imagination et la réalité se confondent en même temps que la forme et le fond. L’absence de texte et l’astreinte à un gaufrier ne dépassant pas huit cases rendent l’exercice encore plus jouissif. »
Frédéric Potet, Le Monde
« (…) L’humour absurde reflèterait-il l’absurdité de la société moderne ? (…) »
Christian Grange, Actua BD
« Se souvient-on de Paul Kirchner, auteur de Dope Rider, ce western fantasmagorique qui laisserait Tarantino sur le tapis ? (…) »
Jean-Pierre Andrevon, L'écran fantastique
« (…) À la lecture, on pense forcément aux Exercices de style de Queneau, soit l’invention d’une même histoire ad aeternam avec d’infimes variations, et tout cela dans un bus. Difficile de ne pas penser non plus à l’étrangeté d’un Kafka (explicitement cité), au burlesque de Jacques Tati voire parfois à la loufoquerie des Monty Python. »
Julien Coquet, Cult.news
« (…) La situation est banale, mais pouvez-vous seulement vous fier à vos sens ? La réalité n’aurait-elle pas plusieurs dimensions ? Et si, la fiction venait troubler le tout ? Chaque gag d’une demi-page est en fait une triple exploration : celle du quotidien, celle de la perception et celle de son imagination. (…) »
A. Perroud, BD Gest'
« (…) Si vous découvrez seulement le bus, venez découvrir un grand moment de non-sens. Le concept est en effet TRÈS simple. Mais Paul Kirchner parvient à se renouveler avec une grande efficacité. (…) »
Yaneck Chareyre, Comixtrip
« (…) Au fil des pages se pose l’irrémédiable question du rapport que l’on peut entretenir avec ces "objets" du quotidien, ces rendez-vous réguliers qui viennent ponctuer nos journées, retrouvant les mêmes habitués, le même panneau devant lequel s’arrêtera ce fameux bus, le même conducteur qui répète encore et encore les mêmes gestes, comme si, au final, rien n’existait plus que ce moment, ce marchepied et cette place entre deux inconnus… L’illusion d’un univers complet. (…) »
Fredgri, Sceneario.com